Christine Zanella-Savy, nous livre son avis sur « Pourvu que mes mains s’en souviennent » de Quentin Ebrard aux Éditions Belfond.
« Ce roman court et nerveux, à l’écriture serrée, au rythme rapide, se déroule dans un château au bord de la mer, une résidence isolée et coupée du monde où, semble-t-il, on retient prisonniers des enfants dans une étrange colonie de vacances.
L’héroïne, Louise, persuadée d’avoir été kidnappée…
Christine Zanella-Savy, Chargé de Mission sur l’attractivité Alès Agglomération.