Qui se soucie encore des hommes de la terre ?
Ceux qui nous nourrissent et qui font vivre des pratiques ancestrales, gage de la qualité de notre patrimoine.
Leur équilibre de vie est devenu tellement précaire que tout semble prêt à basculer.
Le retour du loup en est le symbole. Abandonnés par l’État et culpabilisés par un discours écologiste simpliste, les éleveurs et les bergers français sont incapables de défendre leur métier. Ils renoncent même à transmettre cette vie de passion à leurs enfants.
Mais Olivier Maurin ne se résigne pas ! Il s’engage depuis des années pour défendre l’excellence de la production du paysan qui aime ses bêtes et sa terre. Maire d’une commune rurale, il sait que l’arrivée d’un loup, c’est du sang et des larmes, et le mépris des administrations.
Au nom d’une vision romantique de la nature dont le loup serait le symbole, nous allons voir disparaître les petits paysans et les centaines d’espèces animales et végétales qui dépendent d’un pastoralisme millénaire.
Cet ouvrage est une invitation à sortir du dogmatisme «proloup » ou «anti-loup». Olivier Maurin livre ici ce qu’est sa vie et celle de ses pairs, dans ce témoignage paru le 25 avril aux Editions Salvator.
Il nous fournit des propositions concrètes pour une coexistence prospère des mondes sauvage, ag Il nous fournit des propositions concrètes pour une coexistence prospère des mondes sauvage, agricole et citadin.
Pour en savoir plus :
Olivier Maurin est éleveur de brebis en Lozère. Il est président de lIGP Elovel, l’un des labels les plus exigeants de France. Père de famille et maire de Prévenchères, il prend la parole au nom des milliers de sans-voix des territoires ruraux.